"Pendant une semaine, on rassemble en un seul endroit la haute technologie, la musique, le gaming, l'humour, le film et les investissements dans les start up", explique Maxime Van Cauter, Attaché de Liaison Scientifique de WBI.

Ce festival de tous les possibles draine des dizaines de milliers de personnes et les opportunités sont nombreuses. Mais qu'étaient venus chercher les entreprises et les partenaires institutionnels sur le premier stand wallon augmenté (dont les visuels ont été réalisés par Patrick Croes et animés par l'Art-Chétype) ?

Altheria, qui permet aux entreprises de créer leur propre training virtuel, voulait trouver des partenaires et rencontrer des clients. De son côté, Superbe recherchait de la visibilité et un agent afin de pouvoir se développer sur le territoire américain. Pour sa part, Emisys visait une cible très précise : les organisateurs d'événements à la recherche d'une solution de ticketing, contrôle d'accès, paiement cashless... ALX systems voulait démontrer ses capacités technologiques, notamment en analyse d'images en temps réel. Stéphane, CEO de Depthen qui désirait présenter sa technologie unique au monde des créatifs, était impressionné par l'importance des retours après seulement quelques jours.

Du côté institutionnel, on relevait notamment la présence de la Haute École Albert Jacquard. Joël Jacob recherchait des stages pour ses étudiants en Master en Architecture Transmedia et envisageait la possibilité d'exposer des prototypes.

Technocité était présent pour détecter les futurs besoins en formation et en compétences. Laurence Beckers, venue avec la double casquette de Directrice de création d'Alterface et de membre du conseil d'administration de l'IAD, s'est rendue au Texas pour y découvrir les nouvelles tendances technologiques en suivant les conférences afin d'intégrer certains aspects sur leur marché et de préparer l'évolution de l'école.

Preuve s'il en fallait qu'on peut tout chercher et tout trouver au festival South by Southwest. À l'année prochaine ?