Secteurs porteurs

Tourisme 

La côte monténégrine est longue de 293 km,  avec 117 stations balnéaires.

Au nord du pays, les montagnes, dont le point culminant atteint 2.522 m, offrent de larges domaines skiables.

D’après l’’Organisation mondiale pour le Tourisme et les Voyages, le Monténégro est, parmi les 176 nations étudiées, le pays dont le secteur touristique connaitra le développement le plus rapide (CA en 2017 estimé : 1,8 milliards $)

Cependant, d’après la BERD, une plus grande implication du secteur privé dans les infrastructures – en particulier les routes et les services municipaux –aideront à accélérer le processus. L’investissment public devrait se limiter pour l’heure au grand projet autoroutier reliant le port de Bar à la frontière serbo-monténégrine (43km) dont le coût substantiel (25% du PIB) sera financé sur 25 ans (dont 5 de période de grâce) via un financement chinois.

 

EnergieAgro-alimentaireFabrication industrielleConstruction

Energie 

La restructuration du secteur de l’énergie est une priorité pour améliorer l’efficacité de la fourniture d’électricité. En 2014, la production hydroélectrique, avec le tourisme, sera le moteur principal de la croissance économique.

Le gouvernement a adopté un ambitieux « Energy Development Strategy » mais des programmes concrets et les instruments pour promouvoir les énergies renouvelables doivent encore être établis.

Les attentes d’une croissance à moyen et long terme du secteur énergétique ont été confortées par la signature, en novembre 2010, d’un accord pour la construction d’un câble sous-marin « energy-interconnector » reliant le Monténégro et l’Italie. Le projet, d’une valeur de 860 millions €, prévoit, en outre, des investissements ultérieurs pour relier le Monténégro à la Bosnie-Herzégovine et à la Serbie, transformant le pays en « hub » régional d’ici quelques années.  

 

Agro-alimentaire 

Il s’agit d’un secteur important pour l’économie du pays (représentant le 3ème secteur exportateur) mais qui souffre de nombreuses insuffisances, qui représentent des opportunités :

-      Retards technologiques 
-      Pauvre infrastructure
-      Capacités de « food processing » et « packaging » insuffisantes
-      Manquements dans les stratégies de marketing
-      Définition de standards avec l’OMC et l’UE

 

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